• La desserte rouge, 1908 

    De gedekte tafel
    ( harmonie in rood )


  • Greta Moll, 1908 




  • In 1905 Matisse and his associates, notably André Derain and Maurice de Vlaminck,
    caused a sensation at the Salon d'Automne with their brilliantly coloured,
    raw-factured canvases which earned them the label 'Fauves' (wild beasts).
    Matisse, however, also attracted his first patrons, the Stein family,
    and soon after Claribel and Etta Cone of Baltimore.
    In 1908 Matisse opened his own painting school in Paris and exhibited abroad,
    at New Gallery in London, at '291' in New York, at the Golden Fleece Salon in Moscow,
    and at the Paul Cassirer Gallery in Berlin.
    In 1909 he signed his first contract with Bernheim-Jeune,
    Paris, and took a house at Issy-les-Molineaux.
    At the invitation of his patron, Sergei Shchukin,
    he visited Moscow in 1911 and at the end of the year left for a visit to Tangier.





  • Nu Bleau ( Souvenir de Biskra ) 1906



    Biskra
    Arabic: biskra



    Biskra


    City and oasis in north-eastern Algeria with 190,000 inhabitants (2005 estimate), at the northern edge of the Sahara. Biskra is the centre of the Zab group of oases located in the depression between the Aurès Mountains and the Tell Atlas Mountains.
    It is the capital of Biskra province with 650,000 inhabitants (2005 estimate) and an area of 20,986 km².
    The economy is mainly based on large scale agriculture, which is made possible with water collected in the Wadi Biskra Dam, and distributed by irrigation. The main product is dates, of which the high-quality Deglet Nur is grown in the Tolga oasis 40 km to the west. Other important products include wheat and barley, figs, pomegranates, apricots and olives. National tourism is also of importance to Biskra, due to its nice winter climate and sulfur springs, which are used both for recreation and the treatment of rheumatism and skin diseases.
    Biskra is well-connected with other urban centres in Algeria, with road, rail and a national airport. Batna lies 120 km northeast and El Oued 230 km southeast.
    Biskra is nice city with broad, tree-lined streets and many public gardens.

    HISTORY
    The area was the site of the Roman military post of Vescera.
    9th century: The area is conquered by the Muslims.
    12th century: The Zab gains partial independence, and Biskra serves as capital.
    13th century: Falls to the Hafsid dynasty.
    1552: Conquered by the Ottomans.
    1844: The French conquer Biskra and establish a garrison here.
    1849: A fort, named Saint-Germain, is built on the site of the former kasbah. It is finished 2 years later.
    1969: Great floods destroy much of the Zab oasis.

    MMaxi





  • "The new Matisses, seen in the autumn of 1905, were very shocking indeed. Even their handful of defenders were uncertain about them, while their detractors thought them barbaric. Particularly offensive was his use of this discordant colour in the familiar form of the salon portrait - even though the "victim" was his wife, posing in her best Edwardian hat.




  • La carrière d'Henri Matisse se laisse diviser en trois périodes: de ses débuts à la Première Guerre Mondiale, de la fin de la Première Guerre Mondiale à la fin de la Seconde Guerre Mondiale, de 1945 à sa mort en 1954.

    À la première période correspond celle du peintre d'avant-garde, créateur et chef d'école du fauvisme que le cubisme n'allait pas tarder à détrôner. La seconde a suscité la vision d'un artiste en villégiature perpétuelle sur la Côte d'Azur, spécialiste en menus plaisirs de la rétine, élégant praticien de ce que Marcel Duchamp nommait, non sans condescendance, la peinture physique, ayant renoncé à l'aventure et obtenu, à ce prix, les suffrages d'un public bourgeois. La troisième phase, celle des gouaches découpées, qui marque un retour à l'expérimentation la plus hardie a mis à la mode depuis une douzaine d'années un Matisse figure tutélaire du formalisme abstrait.

    Chacune de ces trois interprétations s'ignore au point de sembler contradictoires. Pourtant elles s'éclairent et s'accordent dès qu'on met à jour un autre facteur: celui des sujets du peintre qui est la condensation, au sein de l'œuvre, de l'horizon spirituel de l'artiste. En fait, il faudrait plutôt dire du sujet: "Vous savez, on n'a qu'une idée, on naît avec, toute une vie durant on développe son idée fixe, on la fait respirer" [rapporté par André Marchand].

    Matisse situe le début de cette règle fixe dans le choix du sujet avec la création de la toile intitulée La Joie de vivre (1905). Une ample arabesque formée par les lignes et les couleurs atteste de l'intérêt naissant de l'artiste pour l'art oriental. Mais l'œuvre accuse aussi de nettes influences de la culture figurative française d'Ingres à Manet, Cézanne, Gauguin. L'emploi des couleurs pures, sans recours aux dégradés, aux valeurs, et un dessin linéaire excluant ombres et modèle est utilisé pour traiter un sujet sans précédent: celui d'une composition inventée, mythologique, une scène pastorale doublée d'une bacchanale comme en peignirent Bellini, le Titien, Poussin et Ingres. Seules activités: les plaisirs de l'amour, de la danse, de la cueillette et une sorte de degré zéro du travail.

    Tous les thèmes que Matisse abordera dorénavant s'y trouvent.

    L'expérience aboutit en 1909-1910 avec les deux grands panneaux "décoratifs" commandés par Serge Chtchoukine: La Danse et La Musique. Ces toiles saisissent le spectateur: la réduction extrême des moyens - trois couleurs pures, un dessin linéaire, un style simplifié, décoratif appelle le retour du thème mythique.

    Puis Matisse fera "le grand bond en avant" de la peinture de chevalet a la "peinture architecturale". Il élabore un art radicalement décoratif dont la chapelle de Vence (1948-1950) et les gouaches découpées seront les exemples culminants. Cet Art tellement révolutionnaire peut paraître en rupture totale avec sa production antérieure, pourtant "Il n'y a pas de rupture entre mes anciens tableaux et mes découpages, seulement plus d'absolu, plus d'abstraction". L'objectif est de susciter un espace plus ample, une lumière plus rayonnante. L'importance grandissante que prend alors le dessin par rapport à la peinture est le préalable à l'invention d'une écriture qui est celle des lignes.

    "J'ai atteint une forme décantée jusqu'à l'essentiel, et j'ai conservé de l'objet, que je présentais autrefois dans la complexité de son espace, le signe qui suffit et qui est nécessaire à le faire exister dans sa forme propre et pour l'ensemble dans lequel je l'ai conçu. Il s'agit pour moi d'une simplification: le papier découpé me permet de dessiner dans la couleur."

    Sources: Texte de Arnaud Maréchal, d'après Pierre Schneider.





  • Andre Derain (1880-1954)



    Derain was one of the founding fathers of fauvism, and one of its wildest practitioners. Influenced by van Gogh and working with Valminck in 1904 he felt that the impressionists had disintegrated their work into dots excessively. Instead, he chose to use wide, choppy brush strokes of pure color. In 1905, he worked with Matisse to bring the technique to maturity.

    MMaxi






  • Follow this section's article RSS flux